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Le contexte

Le contexte

Le travail social ne peut s’appréhender qu’à travers ses évolutions historiques, les points saillants de son histoire, au moins sur le siècle dernier. Notamment :

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De nouvelles autorités de tutelle sont apparues : les Drass ont été intégrées aux Drjscs, les financements ont été confiés aux Conseils Régionaux, accentuant la décentralisation et l’ouverture des marchés publics aux secteurs de la formation professionnelle. Avec ces changements structurels arrivent de nouvelles modalités opérationnelles, notamment les conventions cadres et les conventions tripartites qui contractualisent désormais le partenariat Sq / Efts. Les textes envisagent désormais l’accompagnement des stagiaires de manière élargie, au sein d’équipes pluridisciplinaires.

Le Code de l’Action Sociale et de la Famille a défini les métiers du travail social. Ce champ est en pleine évolution, ainsi ces dernières années émergent de nouveaux professionnels  : surveillants de nuit, maîtresses de maison, médiateur judiciaire à la protection des majeurs, assistants de soins en gérontologie, etc. Par ailleurs, le champ de l’animation s’ouvre avec notamment un Bpjeps, un Dejeps et un Desjeps mention « animation sociale ».

Enfin, la fonction tutorale a été revisitée avec la mise en place des Cfa (Centre de formation des Apprentis) pour les métiers du social, du médico-social et, bientôt, du sanitaire. Outre un rajeunissement des stagiaires à l’entrée en formation, la fonction de maître d’apprentissage induit des logiques d’accompagnement différentes de celles des tuteurs traditionnelles. Pour en savoir plus sur le processus de Bologne : cliquez ici